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Protect : Frédéric Vallon, directeur de La Marjolaine à Tourves, partage son expérience

Le 4 Juillet 2023 marquait une étape importante pour notre collaboration avec l’EHPAD La Marjolaine, de Tourves dans le Var. C’est à cette date que notre équipe a finalisé l’installation des purificateurs d’air Protect au sein de l’établissement. Ces dispositifs, conçus pour améliorer la qualité de l’air, ont rapidement montré leur efficacité. 
 
Un mois après cette mise en place, Monsieur Frédéric Vallon, le dévoué directeur de La Marjolaine, a tenu à partager avec nous les transformations positives qu’il a pu constater. Il nous a décrit en détail les ressentis des résidents et du personnel, ainsi que les améliorations tangibles en termes de bien-être et de qualité de l’air au sein de son établissement.
 
Pour en savoir plus sur son expérience, visionnez son témoignage dans la vidéo ci-dessous.
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Qualité de l’air intérieur : nouvelle réglementation ERP en vigueur

Depuis 10 ans, la qualité de l’air intérieur (QAI) est un sujet au cœur des préoccupations des instances responsables de la santé publique. En effet, les études démontrent qu’une mauvaise QAI est à l’origine de nombreux problèmes de santé physique et mentale des occupants d’un bâtiment : non seulement des pathologies respiratoires (aggravation d’asthme, rhinites, bronchites…) mais également d’autres symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation des yeux et/ou de la gorge, nausées…

À contrario, une bonne QAI a un impact très positif sur le bien-être des occupants, sur leur productivité, leur moral…À tel point que la QAI est devenue un enjeu RSE non négligeable pour les entreprises.

Une étude menée en 2014 par l’ANSES et l’Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur (OQAI) estimait à environ 28 000 le nombre annuel de nouveaux cas de maladies et à plus de 20 000 le nombre annuel de décès prématurés liés à 6 polluants de l’air intérieur, hors locaux professionnels à pollution spécifique. De plus, le coût de la mauvaise QAI est estimé en France à 19 milliards d’euros par an (source OQAI) !

La pandémie de Covid 19 a d’autant plus mis en évidence l’importance de la qualité de l’air intérieur et de purifier celui que nous respirons. Il est donc primordial d’agir et de mettre en place des dispositifs afin d’améliorer la QAI !

Fort des constats sur les avantages et limites de chacune des options proposées par le précédent dispositif de surveillance, le 4e Plan national santé environnement (2021-2025) « Un environnement, une santé » a défini le cadre d’une révision de la réglementation de surveillance de la qualité de l’air intérieur dans les Établissements Recevant un Public sensible (ERP).

Cette révision prend également en compte le retour d’expérience de la crise sanitaire liée à la pandémie de SARS-CoV2 (Covid-19). En effet, cette crise sanitaire a mis en évidence l’importance de la mise en place d’une stratégie environnementale de maîtrise de la qualité de l’air dans chaque ERP. 

Ainsi, la maîtrise du taux de renouvellement et de purification de l’air dans les locaux par la mesure non seulement de la concentration en dioxyde de carbone (CO2) et en composés organiques volatils devient un enjeu majeur, car elle permet la dilution et l’élimination des polluants intérieurs dont les agents infectieux aéroportés.

C’est ainsi qu’un nouveau dispositif est entré en vigueur au 1er janvier 2023.

Le plan d’action global encadrant la surveillance de la qualité de l’air intérieur dans ces établissements se développe sur 3 axes :

  • Évaluation annuelle des moyens d’aération
  • Autodiagnostic tous les 4 ans (contre une surveillance tous les 7 ans auparavant) avec une identification des sources de polluants, la réduction de leurs émissions, la diminution de l’exposition des occupants et l’entretien des sources de ventilation du bâtiment. 
  • Campagnes de mesure aux étapes clés de la vie du bâtiment (livraison d’un bâtiment neuf, réhabilitation, rénovation des systèmes de ventilation, changement des revêtements de sols…).

Trois polluants sont visés en priorité : les formaldéhydes, les benzènes et le CO2.

Les établissements soumis à ce dispositif de surveillance réglementaire depuis le 1er janvier 2023 sont ceux accueillant des enfants :

  • les établissements d’accueil collectif d’enfants de moins de 6 ans (crèches, haltes-garderies, etc.) ;
  • les établissements d’enseignement ou de formation professionnelle du premier et du second degrés (écoles maternelles, écoles élémentaires, collèges, lycées d’enseignement général, technologique ou professionnel) ;
  • les centres de loisirs.

Il est en revanche prévu un report d’application à 2025 à d’autres ERP (structures sociales et médico-sociales, établissements pénitentiaires pour mineurs, etc.), afin de permettre un temps d’adaptation aux collectivités et leur proposer des outils adéquats. Des recommandations de mesures supplémentaires pourraient y être proposées portant sur d’autres polluants. 

Toutes ces mesures ont pour but de sensibiliser, former et rendre acteurs de cette amélioration de la QAI, les entités responsables de la gestion de ce paramètre. 

Une manière simple et peu coûteuse d’améliorer la QAI des bâtiments, est de les équiper de purificateurs d’air professionnels. En captant les composés organiques volatils, ces dispositifs parviennent à filtrer l’air et à le débarrasser des particules polluantes, proposant ainsi un air purifié et assaini.

Utiliser un purificateur d’air est une solution plus écologique pour renouveler l’air que nous respirons. En effet, lorsque nous ouvrons une fenêtre alors que le chauffage ou la climatisation sont allumés, cela entraîne une pollution de l’air extérieur et contribue au réchauffement climatique. En revanche, l’utilisation d’un purificateur d’air permet de se passer de l’ouverture des fenêtres, réduisant ainsi notre impact sur l’environnement.

Il est important de noter qu’aucune aide financière n’est prévue si, lors d’un contrôle, les taux de polluants d’un établissement dépassent ceux mis en place. Ainsi, installer un ou plusieurs purificateurs d’air se révèle être une solution moins onéreuse que d’entreprendre des travaux de rénovation de bâtiments.

Source : www.ecologie.gouv.fr
www.jurad-bat.net

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Purificateur d’air à la maison ou au bureau : quelle technologie choisir ?

Lorsqu’il s’agit d’acheter un purificateur d’air pour la maison ou le bureau, une question se pose : quelle technologie choisir ? En effet, avec le grand nombre de technologies et d’options disponibles, il est difficile de savoir laquelle est la mieux adaptée à vos besoins.

Afin de vous aider, nous allons examiner les technologies disponibles pour un purificateur d’air à la maison ou au bureau. Quels sont les paramètres clés à prendre en compte ? Et, surtout, quel est le meilleur choix à faire pour votre santé, votre confort et, bien sûr, votre porte-monnaie ?

Les points clés pour choisir la bonne technologie lors de l'achat d'un purificateur d'air pour votre maison ou votre bureau

La taille de la pièce dans laquelle le purificateur d'air est le plus efficace

La taille de la pièce dans laquelle vous prévoyez d’utiliser le purificateur d’air est un paramètre important à prendre en compte. Les purificateurs d’air sont conçus pour fonctionner de façon optimale dans un certain volume, il est donc essentiel de choisir un modèle adapté à la taille de la pièce dans laquelle vous souhaitez l’installer.

Les types de polluants que le purificateur d’air peut cibler

Selon leur conception, les purificateurs d’air peuvent cibler différents types de polluants. Par exemple, certains sont plus efficaces pour éliminer les poils d’animaux domestiques, tandis que d’autres sont conçus pour évacuer les fumées et les odeurs. Les types de polluants que vous souhaitez éliminer sont par conséquent un paramètre important lorsque vous choisissez un purificateur d’air.

Le niveau sonore des différentes technologies de purification d’air

Certains purificateurs d’air peuvent être très bruyants, ce qui peut être gênant dans un bureau ou une chambre à coucher. Pour un fonctionnement plus silencieux, portez votre choix sur des modèles dont le niveau sonore est inférieur ou égal à 50 décibels.

Niveau d'entretien et coûts à long terme pour chaque type de purificateur d'air

Quelle que soit la technologie utilisée, tous les purificateurs d’air nécessitent un entretien régulier, tel que le changement ou le nettoyage des filtres. Tous les purificateurs d’air ne se valant pas sur ce point, la technologie qu’ils utilisent est un paramètre essentiel dans leur fiabilité et leurs coûts d’entretiens à long terme.

Les plus et les moins des technologies de purification de l'air pour votre foyer ou bureau

Filtres HEPA et filtres à charbon actif : bons pour les odeurs et les COV (composés organiques volatils), mais bruyants et coûteux

Les filtres HEPA sont généralement considérés comme plutôt efficaces pour éliminer un large éventail de polluants de l’air, y compris les allergènes, la poussière et la fumée. Et dans une moindre mesure, ils peuvent traiter les particules de plus grosse taille, comme les pollens. Cependant, ils sont parmi les moins performants en termes de bruit et de coûts d’entretien.

Les filtres à charbon actif se concentrent principalement sur l’élimination des odeurs et des composés organiques volatils (COV). Ils sont habituellement associés à des filtres HEPA pour couvrir d’autres aspects de la purification de l’air, étant donné qu’ils sont peu efficaces pour les particules plus grosses et que la fréquence de remplacement des filtres est plus élevée.

Lumière ultraviolette (UV) : excellente pour les virus en suspension dans l'air, mais toute aussi bruyante et coûteuse

La lumière ultraviolette (UV) est une technologie puissante qui détruit les germes et les virus en suspension dans l’air, ainsi qu’un large éventail de polluants tels que les moisissures et les bactéries. Comme les deux appareils précédemment cités, les purificateurs UV sont généralement assez bruyants, sans compter le coût de remplacement des ampoules qui est plutôt élevé.

Générateurs d'ozone : large éventail d'utilisations, mais nécessite un entretien important et uniquement pour les zones bien ventilées

Les générateurs d’ozone sont très efficaces pour lutter contre les odeurs, les moisissures et les bactéries, mais ils peuvent produire des niveaux d’ozone nocifs. Ces défauts limitent leur utilisation à des pièces bien ventilées et à des espaces de bureaux, tout en exigeant une maintenance importante, ce qui entraîne des coûts d’exploitation élevés à long terme.

Technologies OXP (oxydation photocatalytique) et IOP4 : large gamme d'utilisations, haute technologie, faible bruit et bonne rentabilité

Les purificateurs d’air basés sur les technologies OXP et IOP4 sont particulièrement appréciés pour leur capacité unique à éliminer la plus large gamme de polluants. Des particules fines aux grosses particules (dont les COV), les technologies OXP et IOP4 permettent de traiter aussi les odeurs, les moisissures, et un grand nombre de bactéries et virus en suspension dans l’air.

Nécessitant un entretien minimal et offrant une efficacité énergétique optimale, elles sont considérées comme l’option la plus rentable à long terme. Ces technologies produisent en outre les niveaux sonores les plus bas, ce qui les rendent parfaitement adéquates pour une utilisation dans les chambres à coucher, les maisons et la plupart des bureaux.

Quelles sont les meilleures technologies de purification de l'air pour votre maison ou votre bureau ?

Cinq étoiles (★★★★★) indiquent la plus grande efficacité sur une caractéristique donnée, tandis qu’une étoile (★☆☆☆☆) indique les performances les plus faibles.

Technologie à

Taille de la pièce

Type de polluants

Niveau sonore

Entretien

Rapport coût-efficacité

Note globale sur 5

Générateurs d’ozone

★★☆☆☆

★★☆☆☆

★★★★★

★☆☆☆☆

★☆☆☆☆

1.8

Charbon actif

★★★★☆

★★★★☆

★★☆☆☆

★★★☆☆

★★★☆☆

3.4

Filtres HEPA

★★★★☆

★★★★★

★★★☆☆

★★★★☆

★★★★☆

4.0

Ultraviolet (UV)

★★★★★

★★★★☆

★★☆☆☆

★★★★★

★★★★☆

4.4

OXP

★★★★★

★★★★★

★★★☆☆

★★★★☆

★★★★★

4.8

IOP4

★★★★★

★★★★★

★★★☆☆

★★★★☆

★★★★★

4.8

Les technologies MonaAir OXP et IOP4 pour votre maison et votre bureau

Pour un traitement efficace de l’air en toute tranquillité, choisissez les technologies de purification de l’air UVC de MonaAir. Ces technologies utilisent la photocatalyse et le plasma pour créer une ionisation avec les meilleures performances contre les virus, les bactéries, les odeurs, les moisissures, les COV, les gaz externes et les polluants.

MonaAir vous aide à améliorer la qualité de l’air de votre maison ou de votre bureau grâce aux modules Protect et Defender7 de première qualité. Respectueux de l’environnement et faciles à installer, ils ne nécessitent qu’un minimum d’entretien et ont un niveau de bruit négligeable.

Les purificateurs d’air Protect et Defender7 de MonaAir garantissent la meilleure qualité d’air intérieur à vos proches dans vos maisons, et protègent la santé de vos employés de bureau et de vos visiteurs.

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Améliorer la qualité de l’air intérieur

D’où vient la pollution intérieure ? 

Nous sommes, sans forcément le savoir, exposés à un grand nombre de polluants présents dans l’air intérieur que nous respirons. Si ces polluants peuvent être d’origine biologique (acariens, animaux domestiques, moisissures…), présents dans les poussières (fumées, allergènes, particules…) ou physiques (comme le radon), de nombreux polluants chimiques envahissent nos logements. Une partie de ces polluants provient de la pollution de l’air extérieur. Pourtant, la plus grande majorité d’entre eux vient de nos activités quotidiennes ou encore des objets présents à la maison.

Il y a des sources continues de pollution. Elles émettent des substances chimiques nocives sur une longue durée. Ces sources sont par exemple :

  • Les matériaux de construction,
  • Les revêtements de sol,
  • Les meubles.

Il existe aussi des sources occasionnelles de pollution. Elles sont liées aux habitudes de vie. Ces sources sont par exemple :

  • La fumée du tabac,
  • Les émissions des appareils de chauffage,
  • Les parfums d’intérieur,
  • Les produits ménagers,
  • Les cosmétiques.

Des sources d’humidité peuvent être à l’origine de moisissures. Ce sont par exemple la cuisson des aliments, la toilette du corps ou encore le séchage du linge.

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Comment renouveler l’air de notre logement ? 

L’air qui est à l’intérieur de nos logements est plus pollué que l’air extérieur. C’est pourquoi l’aération et la ventilation sont si importantes.

Aération
Aérer permet :

  • d’évacuer les polluants,
  • d’évacuer l’humidité,
  • de réduire la transmission des virus comme la Covid-19 ou la grippe.

Pour renouveler l’air d’une pièce, on ouvre en grand la fenêtre au moins 10 minutes. Un geste à répéter dans chaque pièce, au moins une fois par jour, été comme hiver.
On pense aussi à aérer pendant et après certaines activités comme la cuisine, le ménage, la douche, le bain ou le bricolage.

Ventilation
Les grilles de ventilation de notre logement renouvellent l’air en continu. Il peut y en avoir sur les portes et les fenêtres mais aussi au niveau des murs ou des plafonds. Il ne faut surtout pas les boucher. Au contraire, il faut les nettoyer régulièrement.

Comment limiter les sources de polluants dans la maison ? 

Il est possible d’agir efficacement pour améliorer l’air intérieur de notre logement. Il faut pour cela bien choisir nos produits d’entretien ou de bricolage ainsi que nos meubles, et contrôler nos appareils ménagers et de combustion.

Pour nettoyer notre intérieur, privilégier des produits adaptés, avec un label environnemental : les limiter en nombre, respecter les consignes d’utilisation et aérer pendant et après leur utilisation. On peut aussi utiliser des ingrédients traditionnels, moins agressifs pour l’environnement et la santé, sans y ajouter d’huiles essentielles : vinaigre blanc, savon noir, bicarbonate de soude…
Par exemple, le vinaigre blanc détartre, nettoie, fait briller et adoucit le linge.

Pour retirer les poussières, utiliser des serpillières, des chiffons microfibres ou un aspirateur équipé de filtre HEPA pour éviter de remettre en suspension dans l’air une partie des poussières.

Pour les travaux, choisir des produits à faible émission. Depuis 2012, une étiquette obligatoire sur tous les produits de construction et de décoration permet de choisir les produits avec le moins de composés organiques volatiles (COV) à l’émission.
Préférer des colles et vernis « sans solvants » et avec un label environnemental de qualité. Par mesure de précaution :

  • éviter de participer aux travaux lorsque l’on est enceinte,
  • penser à aérer encore plus la pièce dans laquelle des travaux ont été effectués,
  • éviter de stocker trop de flacons dans le logement,
  • garder ceux dont on se sert dans des endroits ventilés,
  • refermer soigneusement les emballages,
  • respecter les consignes d’utilisation.

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Pour aménager le coin de bébé, on prend des précautions. Tout comme la réalisation des travaux, la pose de certains meubles peut émettre des polluants volatils pouvant être dangereux pour la santé (COV, formaldéhyde). Ces émissions sont liées à l’utilisation de colles et de panneaux de particules lors de leur fabrication. C’est d’autant plus important lorsqu’ils sont neufs.

Il est donc important de finaliser l’aménagement de la chambre de bébé bien avant sa naissance et de l’aérer souvent pour évacuer les polluants émis.

Pour utiliser les appareils de chauffage ou de cuisson, on fait attention au monoxyde de carbone. Le monoxyde de carbone ou CO est un gaz très toxique, particulièrement pour les femmes enceintes et les enfants. Il ne se voit pas et ne sent rien.

Il vient d’une mauvaise combustion des appareils de chauffage, de cuisson ou d’eau chaude fonctionnant au gaz, au bois, au charbon, à l’essence, au fuel ou à l’éthanol. Ces appareils et les conduits de fumée doivent être vérifiés chaque année par un professionnel qualifié. En plus, une chaudière bien entretenue consomme moins de combustible et produit moins de polluants. Une bonne ventilation doit être assurée dans le logement et en particulier dans la pièce où se trouve l’appareil ou l’installation.

Pour éviter les piqûres de moustiques à l’intérieur de la maison, on préfère l’utilisation de moustiquaires aux répulsifs. Bombe, aérosol ou diffuseur à brancher sur une prise électrique peuvent contenir des substances chimiques comme des pyréthrinoïdes.

On peut placer les moustiquaires aussi bien aux fenêtres qu’au niveau de notre lit et de celui de bébé.

Eliminer le tabagisme passif ou actif

La fumée de cigarette est composée d’éléments toxiques pour le bon déroulement de la grossesse. En intérieur, une partie de ces substances est absorbée par la moquette ou les tapis, les tissus, les papiers peints. Ils sont ensuite réémis dans l’air. Alors pendant la grossesse et avec l’arrivée de bébé, c’est zéro tabac dans la maison.

Gérer l’humidité et la température des pièces

Les fuites et infiltrations d’eau sont sources d’excès d’humidité. Certaines activités quotidiennes comme la douche, la cuisson des aliments, le séchage du linge le sont aussi.

Pour éviter le développement de moisissures au niveau des murs, sols ou plafonds mais aussi les acariens au niveau de la literie, des tapis ou de la moquette, il faut évacuer cette humidité. On s’assure d’une bonne ventilation dans les pièces concernées et aérer quotidiennement.

Le taux d’humidité idéal se situe entre 40% et 60%. La température idéale se situe entre 18°C et 22°C selon les pièces.

Source : www.1000-premiers-jours.fr

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Pollution de l’air et santé : quels liens et quels effets ?

L’air, carburant de notre corps

L’air constitue le premier élément nécessaire à la vie. La respiration est, quant à elle, une fonction vitale de l’Homme. Chaque jour, environ 15 000 litres d’air transitent par nos voies respiratoires, soit environ 9 litres d’air par minutes. Une fois dépliés et étendus sur une surface plane, nos poumons représentent environ une surface de 70 m². Lorsque l’on sait que nous respirons entre 150 et 750 milliards de nanoparticules chaque jour, il devient capital de comprendre et de soigner les effets de la pollution atmosphérique. Aujourd’hui, les conséquences de la pollution de l’air sont multiples : poumons, cœur, cerveau et bien plus encore. Chaque année, près de 7 millions de décès sont imputables à l’exposition à la pollution de l’air extérieur et intérieur.

L’air contient l’oxygène dont nos organes ont besoin pour fonctionner. Il arrive dans nos poumons, puis est envoyé dans le sang qui l’achemine dans toutes les parties de notre corps. Ainsi, toutes les molécules de pollution, quand elles entrent par notre nez ou notre bouche, trouvent un chemin vers une zone de notre corps et créent une perturbation.

MonaAir-Actualités-Pollution-Air-Santé-2

Les effets de la pollution de l’air sur la santé

La pollution de l’air touche pratiquement chacun d’entre nous. On estime que près de 7 millions de décès sont associés à la pollution de l’air extérieur et intérieur, soit environ 12 % de l’ensemble des décès au niveau mondial. La pollution de l’air peut avoir des impacts sur tout et tout le monde. L’OMS estime que 36% des cancers du poumon sont liés à la pollution, 35% des BPCO, 34% des AVC, 27% des maladies cardiaques. Encore plus effrayant, aujourd’hui l’OMS affirme que 90% de la population urbaine ne respire pas un air sain.

La pollution environnementale (particules fines, monoxyde de carbone, dioxyde de souffre, oxyde d’azote, ozone, benzène, hydrocarbures et métaux lourds) serait à l’origine de 3,7 millions de décès prématurés dans le monde. Elle est la principale cause de décès par cancer (28%), soit 31 000 morts par an en France (en augmentation chez la femme). Il est prévu une augmentation de l’incidence des cancers d’ici 2030 (+45% à 190%). Les taux régionaux de mortalité (standardisés monde) par cancer du poumon sur la période 2004-08 varient de 36,6 pour 100 000 en Midi-Pyrénées à 57,3 pour 100 000 dans le Nord-Pas-de-Calais.

Cette pollution produite par les usines, les véhicules à moteur, l’agriculture ou encore les phénomènes naturels (incendies, pollens, volcanisme…) a une incidence directe sur la santé respiratoire et cardiovasculaire. La taille des particules est liée à leur potentiel toxique. Les polluants induisent la production de molécules probiotiques responsables de la fibrose péri bronchique, et de métalloprotéases responsables de l’emphysème.
Le diesel représente un facteur déterminant de l’augmentation de prévalence et de morbidité des maladies allergiques en agissant non seulement sur les réponses allergiques préétablies mais aussi sur leur genèse.

Les pics de pollution augmentent la mortalité chez les malades atteints d’affections cardio-respiratoires chroniques, augmentent les consultations en urgence et les admissions hospitalières pour causes respiratoires et cardio-vasculaires chez les malades atteints d’insuffisance respiratoire chronique, d’asthme, de BPCO, etc., et sont associés à une diminution de la fonction ventilatoire chez l’enfant. Les enfants sont particulièrement à protéger. Les femmes enceintes doivent aussi se prémunir pour protéger leur enfant (de nombreux polluants sont présents dans le sang du cordon).

La pollution de l’air intérieur est également très impactante pour les personnes asthmatiques ou sensibles. Les allergènes de nos habitations sont en effet partout : plantes, literies, moquettes, zones humides… On parle donc beaucoup des moisissures, des acariens, des pollens, des produits d’entretien, du tabac, des parfums d’ambiance… On n’insistera jamais assez sur la nécessité de l’aération du logement, pratique capitale mais trop peu répandue et sur l’intérêt de rester bien informé : connaître les périodes critiques pour les émissions de pollens dans la région, lire les étiquettes des produits ménagers… pour éviter les erreurs ou les pratiques à risques !

Source : www.pasteur-lille.fr

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L’ioniseur d’air : une solution purifiante naturelle

Un ioniseur d’air est un appareil de purification de l’air qui génère des ions négatifs pour supprimer certaines particules néfastes dans l’air. Il peut également détruire les mauvaises odeurs.

Qu’est-ce qu’un ioniseur d’air ?

Les ioniseurs d’air sont très peu appréciés des ménages français essentiellement à cause de leur esthétique, mais la tendance est sur le point de s’inverser. En effet, le nombre de personnes allergiques au pollen est en recrudescence et il se trouve que purifier l’air des habitations peut être un excellent moyen de lutter contre ces fameuses allergies.

En plus de nettoyer l’air ambiant, l’appareil lutte aussi efficacement contre les bactéries, certains virus, les odeurs ainsi que la moisissure et les acariens. Il est aussi efficace contre les aldéhydes et COV, ces fameux composés volatiles que l’on retrouve dans les peintures, les produits ménagers, les meubles…
L’ionisation permet de respirer un air pur, comme au pied d’une cascade.
Il est essentiel de choisir votre ioniseur en fonction de la superficie à purifier. Un simple calcul (surface en m² x hauteur) vous aidera à sélectionner celui qu’il vous faut.

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Pour qui ?

L’ioniseur (ou ionisateur d’air, un terme galvaudé) est très utile pour les personnes allergiques, les bébés, les personnes âgées ou toute personne sensible à la pollution de l’air. En effet, ce type d’appareil est déjà utilisé depuis longtemps dans les industries afin de filtrer les résidus toxiques, dans les hôpitaux et les compagnies aériennes pour stopper les virus et les bactéries. Aujourd’hui disponible pour les particuliers, il vous aidera à trouver l’équilibre des ions positifs et négatifs dans vos intérieurs, afin de les garder sains pour votre confort.

Pensez bien que l’air de votre maison a une incidence sur votre santé. En effet, une maison dans laquelle l’air est de mauvaise qualité aura tendance à vous rendre malade. L’origine de cet air vicié peut être multiple, mais par exemple un excès d’humidité entraîne le développement des champignons sur vos murs, et vous respirez leurs spores sans vous en rendre compte. Autre possibilité : les personnes qui fument ou utilisent beaucoup d’encens : à l’intérieur, l’air est faiblement renouvelé et les microparticules circulent et s’infiltrent jusque dans les microbronches.

Vous ne le savez peut-être pas, mais de très nombreuses particules néfastes circulent dans votre habitation. En utilisant un ioniseur d’air, les ions négatifs seront utilisés par l’appareil pour neutraliser les particules nauséabondes et capturer les mauvaises odeurs. Ce processus de purification atténue les effets indésirables pour les personnes sensibles aux pollens.

De plus, c’est une excellente façon de réduire la prolifération des acariens, des virus, des moisissures et des mauvaises odeurs. L’ioniseur d’air se fond dans votre décoration intérieure, avec un design particulièrement soigné. C’est un produit qui s’adresse aussi bien aux personnes âgées, aux bébés qu’aux personnes sensibles aux allergies.

Source : www.blog.sens-original.com

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L’usage des ions négatifs pour la qualité de l’air

Qu’est-ce que les ions négatifs ?

Les ions sont des particules présentes dans l’air et qui portent une charge électrique. Les ions sont composés d’électrons et de protons. Il existe deux catégories d’ions : les cations qui sont chargés positivement et les anions qui sont chargés négativement. On retrouve les ions négatifs en très grande quantité dans les grands espaces naturels, comme en montagne, en forêt, au bord de la mer ou encore près d’une cascade. En respirant en très grande quantité les ions négatifs, on éprouve une réelle sensation de bien-être.

Aujourd’hui, grâce aux avancées technologiques, les appareils tels que les ioniseurs permettent d’enrichir nos espaces communs d’ions négatifs et ainsi, de profiter de nos espaces intérieurs sereinement.MonaAir-Actualités-Bienfaits-Ions-Negatifs-3

Quels sont les effets des ions négatifs sur notre santé ? *

De nombreuses études démontrent qu’un environnement enrichi d’ions négatifs a de nombreuses vertus pour la santé.

Tout d’abord les ions négatifs améliorent l’état de santé général car ils favorisent une meilleure pénétration de l’oxygène dans les poumons. Ce qui va influer sur la fonction cardiaque, la vitesse du flux sanguin et la qualité du sommeil. Ils stimulent également les enzymes et les hormones qui permettent de renforcer le système immunitaire.

Les ions négatifs améliorent également notre sensation de bien-être.

En réduisant le taux de sérotonine, les ions négatifs améliorent la concentration et la mémoire et réduisent la sensation de fatigue ou les sautes d’humeur. Ainsi vous bénéficiez d’une sensation de bien-être.

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Et contre la pollution ?*

L’ionisation est efficace pour dépolluer les espaces intérieurs. En se propageant dans l’air, les ions négatifs empêchent les particules nuisibles (pollen, germes, composants organiques volatiles) de se développer. Ainsi, les personnes souffrant d’asthme ou d’allergies voient leur état s’améliorer.

* « Les bienfaits des ions négatifs sur notre santé », auteur My Sommeil, source site web www.solutions-mysommeil.com/les-bienfaits-des-ions-negatifs-sur-la-sante.html

* « Quels sont les bienfaits des ions négatifs sur la santé ? », airvia medical, source site web www.purificateurd’air.com.

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Notre Mission

« La qualité de l’air est le pilier principal d’une bonne santé ». 

Nous avons fait ce constat lorsque l’enfant d’un proche a connu un grave problème de santé qui l’a obligé à rester dans une chambre stérile. Dans ce type de cas, de nombreux moyens sont mis en œuvre afin d’aseptiser et assainir l’environnement du patient : l’eau, la nourriture et surtout l’air ne doivent contenir aucune source de germes ou de pollution.

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Prenant conscience de cela, l’équipe de MonaAir s’est mise à la recherche des solutions les plus efficaces et naturelles pour assainir l’air. Il fallait que cette solution soit respectueuse de l’environnement, peu énergivore, facile à intégrer et discrète, tout en gardant une haute performance de purification. 

Nous passons 70% à 90 % de notre temps en intérieur. De nombreuses études démontrent le degré important de pollution qui existe dans nos intérieurs et l’impact que cela implique sur notre santé. 

Avec la pandémie de Covid 19, il devenait urgent que les espaces intérieurs redeviennent des lieux sains et sécurisés dans lesquels nous pouvons évoluer sereinement.

Nous nous sommes intéressés tout d’abord aux solutions de purification mobile. Mais pour garder une performance optimale de ce type d’appareil, il faut acheter divers filtres adaptés à la forme et aux capacités techniques du purificateur. De plus, la plupart des modèles demandent un entretien régulier et coûteux qui peut s’avérer contraignant pour les usagers et peu écologique.

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En approfondissant nos recherches, nous avons découvert deux technologies utilisées depuis quelques décennies pour purifier et désinfecter l’air : la technologie basée sur la photocatalyse, utilisée dans le milieu hospitalier et pour les missions spatiales, et la technologie reposant sur le plasma froid, également utilisée dans le secteur médical. 

Ces deux procédés sont reconnus pour être efficaces contre une grande majorité des bactéries et virus ainsi que la pollution sous toutes ses formes.

Après avoir étudié ces technologies de purification, l’étape suivante consistait en l’amélioration des appareils. Grâce à notre équipe, nous avons optimisé les modules de purification afin de les rendre plus sûrs, facilement adaptables sur des installations existantes et peu demandeurs de maintenance. 

Aujourd’hui, nos purificateurs MonaAir sont en capacité de fournir de l’air pur pour tous et partout.

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